La jeune fille à la perle
Ton regard a croisé le mien
Tu m’as révélée en chemin
Le vrai secret de la beauté
Qui dépasse l’humanité
Je n’avais pas plus de 9 ans
Je n’étais donc qu’une enfant
Tu venais d’un autre univers
De celui du peintre Vermeer
Dans le miroir de tes grands yeux
Je m’y noyais tel dans les cieux
Me baignant dans leur innocence
Ame sœur j’y trouvais l’espérance
Je t’ai tant aimée et cherchée
Fillette, je t’ai dessinée
J’ai rencontré sur du papier
Une lueur d’éternité
Arlette Coutin
Poème communiqué par l'auteur
et reproduit avec son autorisation
Mise en ligne 26.02.2016