Chant intérieur de mes pensées

Images claires, armoiries du souvenir, beauté sombre des jours enfouis, enfuis, dont il ne reste rien, pas un passage ni une brèche, pour aller vers la lumière du soleil d'été revenu ; clarté, obole, mots d'un poète révéré.

Très étrange. Le stylo gratte à la porte du papier éternellement sollicitée, mais la porte ne s'ouvre pas.

Songe, lumière, être... Ange.

Ne suffit pas d'énumérer.

Au commencement était le verbe Aimer.

(Érica, Poèmes retrouvés, non daté, ca 2003 (?))


Mise en ligne de cette page : 21.08.21

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