Absence : quatrain
Si mes amis ne me voient plus
ce n’est pas qu’ils ne m’aiment plus ;
je sais…Mais ils ne savent plus,
ils sont morts, ils n’existent plus.
Michel-Angelbert Legendre
Poème reproduit avec l'aimable autorisation de l'auteur,
avec nos remerciements
Site de l'auteur : dialoguespoetiques.free.fr
maj de cette page 30.09.2020