L'Ami
Le soleil et la mer dorlotaient nos vieux jours,
Pendant ce temps l’Ami tu partais pour toujours.
Tu étais tendre et doux, un trésor, un amour,
Ta présence nous manque et tes calmes discours.
Tu avais le sourire jovial des braves gens,
Savais rendre service sans souci du moment.
Quand le vent turbulent à la porte se cogne,
On imagine, Ami, voir ta charmante trogne.
Dans ce joli village où quelques âmes vivent,
Ton absence l’Ami bien souvent ravive
Des souvenirs qu’aucun ne voudra oublier.
D’humeur toujours égale, de tous tu fus aimé.
Tes parents et amis pensent toujours à Toi,
Tu vis à travers eux pour très longtemps crois-moi.
L’été s’est effacé et le ciel d’automne
Ravive les souffrances… Tu es là petit homme.
Evelyne DUTHEIL-LALLEMENT
(1er Novembre 2006)
Poème aimablement communiqué par l'auteur que nous remercions. 25.04.11