Hespérides
Poète se prélassant oisif
Devant la porte de ses
RÊVES
Attendant que survienne
on ne sait
quelle BEAUTÉ de sirène idéale
U
Vadrouille en
HESPÉRIDES
Évanescent soupir
d’extase nostalgique
S’ensuivrait une JOIE
par inadvertance ressentie
Au lieu du CŒUR
désœuvré
Il se pourrait
qu’en secret
DIEU
S’y fasse
une place
INEFFABLE.
Les Hespérides
(1877), Edward BURNE-JONES
Nathalie Cousin, extrait de Quintina, L'Harmattan, 2017, p. 71.
Mise en ligne le 16.3.19 Pour le Printemps des poètes 2019, thème : la beauté